A nouveau un courant océanique pourrait concerner la première décade du mois d’Aout ; la différence est que le flux serait de secteur Sud-Ouest-Sud : les températures pourraient alors se situer globalement au dessus de la moyenne de la période 1991-2020.
Côté temps, le Nord et l’Ouest seraient sous une humidité assez relative, le Sud-Est au sec.
La période anticyclonique pourrait durer le temps du week-end ; en effet, par la suite, nous retrouverions un blocage sur les îles britanniques : le flux s’orienterait de nouveau à l’Est avec un régime d’averses pouvant prendre la forme d’orages.
Un blocage anticyclonique continuerait de prendre forme sur les îles britanniques.
Pour autant, les gouttes froides prendraient de l’ampleur sur la France.
Comme un éternel recommencement avec des journées qui commencent sous le soleil : rapidement, les orages prennent le relais et toujours dans un flux de Nord Est comme en 2018 https://www.youtube.com/watch?v=PRUKQFDhw1A
Sur les différentes modélisations, les excédents en précipitations seraient comparables à ceux du mois d’Avril dernier.
Le flux deviendrait plus nordique tout en redevenant relativement dépressionnaire ; ainsi, la limite pluie-neige chuterait sur les massifs juste avant les départs en congés pour les vacances de ski.
Plus au Sud, le temps resterait sec au plus proche de l’anticyclone.
L’anticyclone du Groenland et son homologue des Açores pourraient être reliés par une vaste dorsale ; cette dorsale engloberait les îles britanniques et le Nord-Ouest de la France.
Un flux de Nord-Est assez dynamique débarquerait avec des précipitations plus solides sur fond de refroidissement.
Au moment où les grandes marées débuteraient, la décote serait alors plus importante encore : la mer se retirerait alors encore plus loin lors des basses mers.
Et si c’était la pleine de Vendredi matin la plus intense ? Certes les coefficients de marées ne seraient « que » de 105.
Pour autant, la houle serait plus forte que les jours précédents : même avec des hauteurs d’eau à peine plus basses, le risque de submersion marine serait des plus forts surtout si c’est en marge d’une nouvelle marée de tempête.
Ce qui semble en revanche plus fiable, ce serait l’accumulation d’eau supplémentaire.
En fin de week-end, les hautes pressions reviendraient par l’Ouest provoquant la bascule vers un flux plus nordique : la neige reviendrait alors sur les Vosges, le Jura et plus présente encore sur le Nord des Alpes.
Quelques divergences sur le positionnement de l’anticyclone ; a priori, il reviendrait sur les îles britanniques et résisterait sur l’Ouest de la France.
La principale conséquence serait moins d’averses sur le pays et une limite pluie-neige continuant de descendre.
Après une brève période anticyclonique, une énième offensive orageuse arriverait par le Sud-Ouest ; elle pourrait cette fois favoriser la porte ouverte à un courant océanique durable soit conforme à ce que mettent les modèles allant jusqu’à 4 semaines.
La modélisation n’aurait quasiment plus aucun doute sur un courant dépressionnaire qui reviendrait pile pour les grandes marées atteignant les 105 le 11 Septembre.
La houle serait fortement présente après plusieurs mois de calme ; prudence pour ces premières marées même si celles de Septembre sont calmes la plupart du temps.
Rare où les grandes marées donnent quelque chose au mois de Septembre côté houle ; mais ça peut arriver comme en 2019 ; voir notre vidéo via https://www.youtube.com/watch?v=RlwFXncjM4A
Côté temps, on devrait retrouver un dégradé Nord (humide) – Sud (sec).
Avec des coefficients de marée atteignant les 110 le Mardi 27 Avril 2021 et un système dépressionnaire britannique, le risque de submersion marine serait plus que jamais d’actualité.
Un ou plusieurs trains de houle longue à très longue pourraient parvenir jusqu’à nos côtes.
Côté temps, le flux de Sud retarderait la généralisation des averses qui finiraient par atteindre le Nord-Est en fin d’échéance.
A priori, le flux serait de secteur Sud-Ouest.
La présence des hautes pressions sur le Sud et l’Est aurait des conséquences.
Les perturbations se contenteraient de donner quelques averses bienfaitrices pour la végétation.
En revanche, sur les côtes, il faudrait encore surveiller les marées avec un coefficient 111 le Mercredi 28 Avril 2021.
Après un Noel pas franchement au balcon, un Paques pas vraiment aux tisons ?
Avec un positionnement encore assez aléatoire de l’anticyclone et une goutte froide méditerranéenne incertaine, il est difficile de donner une tendance précise.
Ce qui serait bien parti : le maintien des hautes pressions sur le Royaume Uni.
Ensuite, le risque de précipitations serait assez important et la baisse des températures quasiment actée.
De l’agitation resterait de l’ordre du possible d’autant plus que le champ de pression repartirait de nouveau à la baisse partout.
De là à envisager le retour d’un courant maritime d’Ouest, il n’y aurait qu’un pas qui serait assez facilement franchi.
Par conséquent, la première zone en vacances scolaires, si elle peut en profiter pleinement, pourrait composer avec les averses et un certain redoux.
Le courant océanique devrait perdurer en partie grâce notamment à la mise en place d’un système dépressionnaire. Ce système se situerait sur les îles britanniques puis sur le Bénélux.
Avec le retour de l’anticyclone dès le Jeudi 24, le rafraichissement voire le refroidissement serait brutal en montagne.
En plaine, la baisse des températures serait aussi marquée ; pour autant, la masse d’air redeviendrait de saison.
Le jour de Noel devrait être marqué par un courant nordique laissant penser qu’il pourrait neiger au moins sur le Centre Est.