Problème : cette dégradation interviendrait alors que les coefficients culmineraient à 114 les Dimanche 30 et Lundi 31 Mars 2025.
Alors qu’avec des valeurs théoriques, le risque de submersion marine est déjà important ; en pratique, si une telle situation devait se produire, la submersion marine atteindrait des proportions peu courantes surtout à cette période de l’année.
Si en plus la houle devait se faire présente, l’érosion cotière prendrait davantage d’ampleur.
Côté temps, sans surprises, les précipitations seraient importantes sur l’ensemble du territoire puis uniquement sur l’Ouest et le Nord de la France.
Le champ de pression pourrait remonter par le Sud puis l’Ouest ; il n’empêcherait nullement le ciel de traine de sévir sur la plupart des régions exceptées le pourtour méditerranéen.
Avec un flux plus nordique, la limite pluie-neige aurait tendance à baisser de quoi faire du ski de printemps.
Les premiers départs en vacances de la zone A se feraient probablement sous plusieurs forts coups de vent voire jusqu’à la tempête ; ainsi, sur les massifs, l’enneigement serait très bon à moyenne et haute altitude.
L’autre conséquence serait sur les côtes : le phénomène de surcote serait des plus importants alors que les coefficients de marée atteindraient les 111 le Dimanche 2 Mars 2025.
Le risque de submersion marine serait potentiellement inédit alors que la houle se ferait très présente : la situation ressemblerait à celle de Mars 2020 https://www.youtube.com/watch?v=ho_ZXefhqds
La prudence serait alors de mise.
Côté temps, sans surprises l’Ouest et le Nord seraient sous des précipitations abondantes.
Le Sud globalement non hormis durant le week-end des 1er et 2 Mars où un système dépressionnaire favoriserait des remontées instables : les orages seraient alors violent au niveau des précipitations et des rafales de vent.
Vu l’échéance fort lointaine, cette prévision demandera une confirmation quelques jours avant.
En plaine et en vallée, il faudrait faire attention aux cumuls en eau.
Le champ de pression remonterait un peu par le Sud ce qui devrait réduire le risque d’averses sur le pays.
En parallèle, le flux deviendrait plus nordique ce qui laisserait penser à un nouvel abaissement de la limite pluie-neige sur les reliefs.
Certaines modélisations minoritaires tableraient sur une nouvelle offensive neigeuse en plaine le Mercredi 5 Mars.
Là aussi, l’échéance est trop lointaine pour donner des détails.
Comme souvent après une longue période de temps calme, la moindre dépression est susceptible de générer un (fort) coup de vent.
Ce serait probablement le cas pour les départs en vacances de la zone C où le puissant redoux ferait fondre la neige à basse et moyenne altitude : le risque d’avalanches serait alors au plus haut.
En plaine et en vallée, il faudrait faire attention aux cumuls en eau.
Le champ de pression pourrait remonter sensiblement au moins sur le Sud et l’Est ; sur les îles britanniques, il ne serait pas impossible qu’il y ait une dorsale.
Dans un tel cas, les perturbations, quand elles passeraient, donneraient moins de précipitations.
Côté mer, avec les grandes marées, le seul souci viendrait éventuellement de la houle ; autrement, les bancs de sable se découvriraient plus faciles en marge de décote.
Le courant dépressionnaire pourrait s’accentuer au point qu’un ou plusieurs forts coups de vent seraient probables.
En marge de dépression assez creuse, une autre dégradation serait également possible sur le quart Sud-Est de la France.
Sur les massifs, la limite pluie-neige diminuerait également et les accumulations d’eau seraient à surveiller.
En marge des grandes marées, les basses pressions britanniques resteraient très actives ; elles s’étendraient jusqu’au Canada ce qui laisserait penser à la présence d’une houle très longue.
Par conséquent, le risque de submersion marine augmenterait alors que les coefficients seraient en théorique de 99 ; en pratique, les 110 ne seraient pas impossible.
La circulation océanique de Sud-Ouest prendrait un peu plus d’ampleur. Pour autant, elle se heurterait encore à l’anticyclone YURGEN : la conséquence principale serait une généralisation des pluies sur le Nord-Ouest notamment.
De plus, la douceur se maintiendrait à l’occasion de ce long week-end de l’Armistice 1918.
Le courant océanique d’Ouest pourrait s’accentuer (sources américains et européens) à l’occasion des grandes marées (coefficient 101).
Une telle situation générerait un ou deux (forts) coups de vent avec un risque de submersion marine non négligeable un peu comme en 2022 https://www.youtube.com/watch?v=-kwdnI1rU1U ; la limite pluie-neige descendrait également dans ce type de configuration ce qui permettrait aux Vosges d’être de nouveau blanchies.
Le courant perturbé prendrait moins d’ampleur en marge d’un retour temporaire des hautes pressions ; ça ferait presque office de pause dans la circulation océanique d’Ouest.
En effet, en fin de période, la pression atmosphérique diminuerait de nouveau par l’Ouest en marge d’une réactivation du système dépressionnaire Britannique et même Canadien.
La modélisation mettrait toujours en avant une accentuation du courant dépressionnaire ; la différence avec la semaine précédente est que les coefficients de marées dépasseraient les 110 Vendredi 18 et Samedi 19 Octobre 2024. La situation pourrait ressembler à celle de 2018 https://www.youtube.com/watch?v=CNhHYLSLWIE
En l’occurrence, si le système dépressionnaire tendait à être véritablement actif, ce ne serait pas sans conséquence sur les surcotes, vagues submersion.
Côté temps, sans surprises, le Nord et l’Ouest seraient sous les précipitations, le Sud-Est au sec pour ce premier week-end de départs en vacances.
La modélisation semblerait en accord pour remettre la circulation océanique d’Ouest.
Comme souvent, après une longue période de « temps calme » sur l’Atlantique, il faudrait surveiller la première dépression ; cette dernière pourrait générer un coup de vent.
Côté temps, sans surprise, les précipitations se produiraient sur l’Ouest et le Nord de la France.
Le quart Sud-Est serait au sec dans une telle situation.
Le courant d’Ouest resterait très actif ce qui poserait problème avec les coefficients de marée prévus durant cette période.
Les coefficients atteindraient les 115 soit des hauteurs d’eau théoriques similaires à celles de début Mars.
La différence serait que la surcote serait plus importante encore et la houle d’actualité.
Le risque de vagues submersion atteindrait des niveaux inégalés pour un mois de Septembre.
D’où une surveillance accrue pour cette période de grandes hauteurs d’eau.
Ce serait très rare d’avoir à la fois la houle et la surcote en plein pendant les grandes marées ; on a plutôt la situation comme celle de 2022 https://www.youtube.com/watch?v=UJ4zorcZyOU
Au niveau de la couleur du ciel, le gris dominerait les débats avec des accumulations d’eau qui poseraient problème là aussi.
Et comme sur la période précédente, la PACA et la Corse resteraient aux abris au prix d’un vent d’Ouest fort.
La modélisation semblerait quasi unanime pour mettre un courant d’Ouest dominant ; ce qui pourrait différer, ce serait l’ampleur des perturbations circulant sur le territoire.
Quoi qu’il en soit, seules les régions bordant la Mer Méditerranée conserveraient un temps estival.
Une hausse de la pression atmosphérique sur l’Est et le Sud y réduirait le risque d’averses.
Le flux serait également plus orienté au Sud engendrant une légère hausse des températures.
En revanche, vers les côtes de la Manche, le couloir dépressionnaire serait toujours présent ; avec les coefficients de marées atteignant les 108 le Jeudi 22, le risque de submersion marine serait à surveiller.
Une poussée anticyclonique continuerait de se faire par l’Ouest puis par le Sud ; le risque d’averse aurait alors tendance à diminuer pendant et après le week-end. La masse d’air en profiterait pour se réchauffer pour avoir des valeurs de températures plutot classiques à cette période de l’année.
Le champ de pression pourrait s’abaisser considérablement sur les îles britanniques. Serait-ce pour autant le retour à des conditions dépressionnaires aussi intenses que celles de début Avril ?
En tout cas, la surveillance serait de mise par rapport à la surcote.