Le courant océanique persisterait et signerait ; il prendrait la forme de nombreuses averses notamment sur l’Ouest ; le vent soufflerait souvent fort dans une telle configuration.
Le champ de pression remonterait sur l’Europe centrale et donc sur l’Est de la France ; à l’Ouest, le système dépressionnaire pourrait se renforcer.
D’où un vent orienté Sud faisant grimper les températures, l’instabilité avec.
Avec les grandes marées d’équinoxe débarquant en fin de période, il faudrait surveiller la houle : le risque de vagues submersion serait alors amplifié un peu comme en 2020 https://www.youtube.com/watch?v=ho_ZXefhqds
La configuration pourrait être dangereuse sur les côtes de la Manche notamment ; en effet, de potentielles « bombes » dépressionnaires circuleraient sur le Royaume Uni.
L’une d’entre elles surgirait probablement le Dimanche sur des marées de coefficient 104 : autant dire que le timing ferait que la conjonction surcote, houle, grandes marées serait d’actualité !.
Côté temps, les précipitations seraient une nouvelle fois intenses pour remplir les nappes phréatiques.
Une poussée anticyclonique serait faisable par le Sud et l’Est ; pour autant, la dégradation resterait de mise surtout les premières 48 heures de ce mois.
La modélisation européenne tendrait vers une très forte agitation pour ces grandes marées d’équinoxe ; il est même modélisé un fort coup de vent pour les journées de Vendredi et Samedi.
Or, durant ces journées, les coefficients de marée atteindraient les 110 et 112.
D’où une conjonction possible de la surcote, de la houle très longue engendrant un risque de submersion marine peu courant.
Le courant dépressionnaire semblerait se confirmer avec de fréquentes perturbations ; les accumulations en eau seraient significatives au Nord de la Loire permettant de réduire l’ampleur de la sécheresse.
Au Sud, les précipitations seraient également présentes ; pour autant, rapidement, le vent d’Ouest assécherait la masse d’air.
Une poussée anticyclonique se ferait par le Sud ; la première conséquence serait un rejet des perturbations au Nord de la France.
La période des très grandes marées d’équinoxe seraient rythmées par une dépression : la dépression GUNTER.
En effet, elle devrait arriver de façon atténuée dès Mercredi après-midi sur l’Irlande donnant un temps assez instable sur la France. Pour autant, une mer du vent assez présente est envisagée le Mercredi.
Pour Jeudi, la surcote serait d’actualité avec GUNTER centrée sur la Manche.
Ce serait probablement la journée la plus agitée en terme de mer du vent sur les côtes de la Manche mais également côté temps.
Pour Vendredi, en mer, un retour au calme serait possible de part une dorsale remontant jusque vers l’Ouest de l’Irlande voire sur l’Islande.
Elle « casserait » la houle.
Du coup, on se retrouverait avec très peu de vagues mais probablement encore une surcote sur des hauteurs d’eau les plus élevées : des secteurs peu habitués à être inondées le seraient.
La journée du Samedi 2 Septembre 2023 serait probablement la plus calme au niveau des grandes marées.
Elle ferait office de transition entre le décalage de la dépression GUNTER sur le Golfe de Gascogne et l’anticyclone se renforçant jusqu’au Bénélux.
D’où très peu de vagues mais un temps instable.
Dimanche 3 Septembre 2023, les hauteurs diminueraient mais un train de houle débarquerait ; en effet, une vaste dépression (ex ouragan Franklin ?) générerait un fort train de houle vers l’Islande puis l’Irlande.
Il pourrait arriver lors de la pleine mer du soir sur l’Ouest des côtes de la Manche ainsi que sur l’Océan Atlantique.
Si vigilance vagues submersion, ce serait à ce moment là.
Lundi 4 Septembre 2023 serait marquée par un train de houle de plus en plus fort.
Certes, les hauteurs d’eau théoriques auront chuter mais le risque de vagues submersion serait d’actualité.
Côté temps, ce serait encore l’humidité en ce jour de rentrée.
Quelques gouttes froides viendraient s’isoler sur le pays et dans un flux rendu nordique.
En effet, l’anticyclone tenterait une poussée par l’Ouest ce qui aurait pour conséquence d’alimenter en air froid les gouttes…froides.
Par conséquent, les précipitations pourraient se faire importantes de part la récurrence d’orages stationnaires et un sérieux risque de grêle : évidemment, vu l’échéance, il faudra une confirmation la veille voire quelques heures avant.
Dans tous les cas, la masse d’air serait logiquement rafraichie.
Avec l’effondrement des hautes pressions sur les îles britanniques et peut-être aussi sur l’Ouest de la France, le flux redeviendrait océanique.
Le timing serait parfait pour les grandes marées avec une houle revenant sur des coefficients atteignant les 112 Vendredi et Samedi ; d’où un risque de submersion marine marqué en cette veille de rentrée scolaire.
Côté temps, sans surprise, ce serait un défilé de perturbation plus ou moins active dans une masse d’air probablement de saison.
Le week-end pourrait faire office de pause avec une dorsale asséchant la masse d’air ; le ressenti pourrait alors être plus printanier sur les départs en congés de la seconde zone.
A priori, les basses pressions devraient être majoritaires au moins sur le Nord de la France.
Avec des marées atteignant les coefficients 101, la houle pourrait être à surveiller notamment sur les côtes de la Manche comme début Avril 2021 https://www.youtube.com/watch?v=5wSi9A5YZ_4
Côté temps, pas mal d’averses sur le Nord et l’Ouest mais en atténuation de par la remontée progressive de la pression atmosphérique.
Et si c’était la pleine de Vendredi matin la plus intense ? Certes les coefficients de marées ne seraient « que » de 105.
Pour autant, la houle serait plus forte que les jours précédents : même avec des hauteurs d’eau à peine plus basses, le risque de submersion marine serait des plus forts surtout si c’est en marge d’une nouvelle marée de tempête.
Ce qui semble en revanche plus fiable, ce serait l’accumulation d’eau supplémentaire.
En fin de week-end, les hautes pressions reviendraient par l’Ouest provoquant la bascule vers un flux plus nordique : la neige reviendrait alors sur les Vosges, le Jura et plus présente encore sur le Nord des Alpes.
Quelques divergences sur le positionnement de l’anticyclone ; a priori, il reviendrait sur les îles britanniques et résisterait sur l’Ouest de la France.
La principale conséquence serait moins d’averses sur le pays et une limite pluie-neige continuant de descendre.
Une évolution orageuse pourrait être entrevue en marge d’un talweg venant s’isoler sur l’Ouest de la France ; un débordement de l’instabilité serait possible sur le pourtour méditerranéen.
Vu l’échéance lointaine pour ce type de prévisions, la prudence est de mise dans le sens où à la prochaine réactualisation, il peut y avoir un autre scénario envisagé ou pas !
Quoi qu’il en soit, la douceur serait printanière ce qui n’aurait rien d’étonnant pour un mois de Mars.
Sur les côtes, nous rentrerons dans des grandes marées d’équinoxe avec un risque de vagues submersion à surveiller.
Une bascule du flux plein Ouest serait envisagée ; dans un tel cas, le risque de surcote serait important notamment sur les côtes de la Manche.
Avec un coefficient de marée atteignant les 111 le Mercredi 22, une vigilance serait possible.
Là aussi, vu l’échéance, il faut être prudent sur la tendance.
Le courant océanique d’Ouest persisterait et signerait. Les perturbations se feraient plus nombreuses mais aussi plus prolifiques en terme de précipitations : un bien pour les nappes phréatiques.
Peu de changements hormis une hausse de la pression atmosphérique par le Sud ; Cependant, ça n’empêcherait pas les perturbations d’arroser le Nord et l’Ouest du pays le tout dans un certain redoux.