Une nouvelle offensive orageuse débarquerait par l’Ouest en marge d’une énième goutte froide ; elle pourrait être suivie d’une dorsale asséchant considérablement la masse d’air donnant un ressenti moins automnal.
A nouveau, une composante Ouest apporterait son lot d’averses partout sauf sur les régions bordant la Mer Méditerranée ; ce serait du grand classique à cette période de l’année.
Une houle cyclonique pourrait se produire au moment des plus grandes hauteurs d’eau et avec probablement une surcote ; cette situation serait à surveiller le cas échéant vis à vis du risque de submersion marine.
Côté temps, sans surprises, les averses se feraient nombreuses sauf sur le pourtour méditerranéen où le vent d’Ouest assécherait la masse d’air.
Pas de changements a priori ; nous aurions toujours la présence des basses pressions sur les îles britanniques et un anticyclone sur le Sud de la France. Ce serait du grand classique à cette période de l’année.
Après une brève période anticyclonique, une énième offensive orageuse arriverait par le Sud-Ouest ; elle pourrait cette fois favoriser la porte ouverte à un courant océanique durable soit conforme à ce que mettent les modèles allant jusqu’à 4 semaines.
La modélisation n’aurait quasiment plus aucun doute sur un courant dépressionnaire qui reviendrait pile pour les grandes marées atteignant les 105 le 11 Septembre.
La houle serait fortement présente après plusieurs mois de calme ; prudence pour ces premières marées même si celles de Septembre sont calmes la plupart du temps.
Rare où les grandes marées donnent quelque chose au mois de Septembre côté houle ; mais ça peut arriver comme en 2019 ; voir notre vidéo via https://www.youtube.com/watch?v=RlwFXncjM4A
Côté temps, on devrait retrouver un dégradé Nord (humide) – Sud (sec).
Une dégradation orageuse majeure serait entrevue une semaine à l’avance soit une échéance lointaine pour ce type de prévisions ; il resterait à savoir si quelques jours voire plusieurs heures avant une telle prévision se maintiendrait : quoi qu’il en soit, le coup de chaud entrevue ne serait pas durable de part la présence nombreuse des gouttes froides.
Alors que les retours des vacances d’été se feraient plus nombreux que jamais, Dame Nature se recouvrirait d’un temps pouvant basculer dans l’automne tout comme ayant la possibilité de rester dans l’été : les modèles ne sont pas calés sur ce point.
Nous pensons que nous pourrions avoir un peu des deux : passage de quelques perturbations surtout au Nord de la Loire, temps plus estival au Sud.
Si la dégradation orageuse devait se confirmer, elle durerait potentiellement quelques jours sur le Sud et l’Est ; à l’Ouest, les hautes pressions feraient déjà leur retour y asséchant la masse d’air avec le spectre de la sécheresse en surface pouvant revenir très rapidement.
La modélisation dite ensembliste hésiterait entre un flux d’Ouest anticyclonique et un courant dépressionnaire même si ce dernier a tendance à être plus présent dans les réactualisations ; la modélisation saisonnière serait plus favorable à un temps automnal.
Il se pourrait qu’il y ait un peu des deux pour les Aoutiens durant cette première décade : alternance entre averses et éclaircies surtout au Nord de la Loire.
Les hautes pressions pourraient revenir temporairement sur le Royaume Uni faisant basculer le flux à l’Est.
Cependant, une énième goutte froide espagnole remonterait pour provoquer a priori de l’instabilité plus forte ; elle pourrait se généraliser à tout le pays durant ce week-end : évidemment, cette tendance est rendue fragile de part l’échéance et surtout des précédents qui se sont révélés pour la plupart des flops.
La plupart des scénarios tendrait à décaler les hautes pressions sur le Sud et l’Est de la France ; ce serait alors reparti pour un flux d’Ouest-Sud-Ouest anticyclonique avec une chaleur épargnant grosso modo un grand quart Nord-Ouest.
Avec des coefficients de marée dépassant les 95, ce qui resterait de la houle entrerait atteindrait les côtes ; de là à parler de risques de submersion marine, la période de retour est de 15 ans ; la dernière fois que des vagues dignes de celles d’un mois de Février s’étaient produites au mois d’Aout, c’était en 2016 ; vidéo sur https://www.youtube.com/watch?v=1LcUYIVH890
Autrement, le reste du pays (Est et Sud) se retrouverait sous le soleil et une masse d’air redevenant plus chaude.
Un semblant de courant d’Ouest pourrait se faire au moment du plus grand chassé croisé de l’année sur les routes ; les Juilletistes reviendraient surchauffées, les Aoutiens auraient a priori bien plus de mal à faire aussi bien, on ne sait jamais…
La modélisation dite ensembliste hésiterait entre un flux d’Ouest anticyclonique et un courant dépressionnaire ; la modélisation saisonnière serait plus favorable à un temps automnal.
Il se pourrait qu’il y ait un peu des deux pour les Aoutiens durant cette première décade : alternance entre averses et éclaircies surtout au Nord de la Loire.
Le pic de la canicule pourrait être atteint le Vendredi sur l’Ouest, le Samedi ou le Dimanche sur l’Est avec des pointes pouvant atteindre voire dépasser les 40°C.
Ce nouveau coup de chalumeau interviendrait à l’avant d’une dégradation orageuse moins organisée et potentiellement moins intense que celle de Juin dernier.
A confirmer vu l’échéance lointaine pour ce type de prévisions.
Quoi qu’il en soit, la sécheresse pourrait encore s’accentuer, le risque d’incendies de foret avec.
Vers un flux d’Ouest anticyclonique ? le blocage perdurerait mais avec une orientation plus maritime ; la conséquence serait un air plus « frais » mais les températures pourraient rester chaudes ; une aridification en cours de notre pays ?
Les hautes pressions domineraient sans véritable partage les débats ; une dorsale engloberait progressivement les îles britanniques faisant basculer le flux à l’Est.
Les températures grimperaient mais a priori ne devraient pas atteindre les valeurs caniculaires de celles de la mi Juin.
Une faiblesse de l’anticyclone permettrait à un système de gouttes froides espagnoles de franchir les frontières.
Dans un tel cas, une très forte advection d’air chaud pour ne pas dire brulant débarquerait sur l’Ouest ; les 35°C seraient alors facilement atteints voire dépassés avant que les orages ne rafraichissent sensiblement la masse d’air.
Sur le reste du pays, le risque orageux aurait tendance à se généraliser sauf sur le pourtour méditerranéen mis au sec par le Mistral et la Tramontane.
Pas l’idéal pour les feux d’artifice et les bals de pompiers.