Si la dégradation orageuse devait se confirmer, elle durerait potentiellement quelques jours sur le Sud et l’Est ; à l’Ouest, les hautes pressions feraient déjà leur retour y asséchant la masse d’air avec le spectre de la sécheresse en surface pouvant revenir très rapidement.
La modélisation dite ensembliste hésiterait entre un flux d’Ouest anticyclonique et un courant dépressionnaire même si ce dernier a tendance à être plus présent dans les réactualisations ; la modélisation saisonnière serait plus favorable à un temps automnal.
Il se pourrait qu’il y ait un peu des deux pour les Aoutiens durant cette première décade : alternance entre averses et éclaircies surtout au Nord de la Loire.
Les hautes pressions pourraient revenir temporairement sur le Royaume Uni faisant basculer le flux à l’Est.
Cependant, une énième goutte froide espagnole remonterait pour provoquer a priori de l’instabilité plus forte ; elle pourrait se généraliser à tout le pays durant ce week-end : évidemment, cette tendance est rendue fragile de part l’échéance et surtout des précédents qui se sont révélés pour la plupart des flops.
La plupart des scénarios tendrait à décaler les hautes pressions sur le Sud et l’Est de la France ; ce serait alors reparti pour un flux d’Ouest-Sud-Ouest anticyclonique avec une chaleur épargnant grosso modo un grand quart Nord-Ouest.
Avec des coefficients de marée dépassant les 95, ce qui resterait de la houle entrerait atteindrait les côtes ; de là à parler de risques de submersion marine, la période de retour est de 15 ans ; la dernière fois que des vagues dignes de celles d’un mois de Février s’étaient produites au mois d’Aout, c’était en 2016 ; vidéo sur https://www.youtube.com/watch?v=1LcUYIVH890
Autrement, le reste du pays (Est et Sud) se retrouverait sous le soleil et une masse d’air redevenant plus chaude.
Un semblant de courant d’Ouest pourrait se faire au moment du plus grand chassé croisé de l’année sur les routes ; les Juilletistes reviendraient surchauffées, les Aoutiens auraient a priori bien plus de mal à faire aussi bien, on ne sait jamais…
La modélisation dite ensembliste hésiterait entre un flux d’Ouest anticyclonique et un courant dépressionnaire ; la modélisation saisonnière serait plus favorable à un temps automnal.
Il se pourrait qu’il y ait un peu des deux pour les Aoutiens durant cette première décade : alternance entre averses et éclaircies surtout au Nord de la Loire.
Le pic de la canicule pourrait être atteint le Vendredi sur l’Ouest, le Samedi ou le Dimanche sur l’Est avec des pointes pouvant atteindre voire dépasser les 40°C.
Ce nouveau coup de chalumeau interviendrait à l’avant d’une dégradation orageuse moins organisée et potentiellement moins intense que celle de Juin dernier.
A confirmer vu l’échéance lointaine pour ce type de prévisions.
Quoi qu’il en soit, la sécheresse pourrait encore s’accentuer, le risque d’incendies de foret avec.
Vers un flux d’Ouest anticyclonique ? le blocage perdurerait mais avec une orientation plus maritime ; la conséquence serait un air plus « frais » mais les températures pourraient rester chaudes ; une aridification en cours de notre pays ?
Les hautes pressions domineraient sans véritable partage les débats ; une dorsale engloberait progressivement les îles britanniques faisant basculer le flux à l’Est.
Les températures grimperaient mais a priori ne devraient pas atteindre les valeurs caniculaires de celles de la mi Juin.
Une faiblesse de l’anticyclone permettrait à un système de gouttes froides espagnoles de franchir les frontières.
Dans un tel cas, une très forte advection d’air chaud pour ne pas dire brulant débarquerait sur l’Ouest ; les 35°C seraient alors facilement atteints voire dépassés avant que les orages ne rafraichissent sensiblement la masse d’air.
Sur le reste du pays, le risque orageux aurait tendance à se généraliser sauf sur le pourtour méditerranéen mis au sec par le Mistral et la Tramontane.
Pas l’idéal pour les feux d’artifice et les bals de pompiers.
Le retour (ou le maintien) des hautes pressions serait toujours partiellement envisagé pour le week-end.
En revanche, les gouttes froides domineraient l’Est et le Sud avec dégradation orageuse possible.
En cours de période, cette dégradation pourrait se généraliser à quasiment toutes les régions.
Les gouttes froides espagnoles ou portuguaises remonteraient un peu plus sur la France ; par conséquent, la chaleur forte et l’humidité feraient de même.
Dans un tel cas, l’humidex (ou l’indice de confort) atteindrait des niveaux rarement atteints à cette période de l’année (hormis en 2019 ?) ; cette situation nécessiterait alors une certaine prudence si elle devait arriver.
Une nouvelle offensive orageuse serait possible durant le week-end précédent le début du Hellfest ; un bref courant océanique se ferait en début de semaine suivante tout comme la fraicheur.
Le champ de pression repousserait par le Sud dégageant les principales averses ; le risque de précipitations apparaitrait alors faible voire inexistant pour la première édition du Hellfest ; en revanche, pour la seconde édition, rien de très encourageant…pour le moment.
La pression atmosphérique remonterait temporairement sur le pays laissant penser à une accalmie en début de week-end de la Pentecôte.
Cependant, en cours de journée de Dimanche, l’instabilité pourrait revenir par le Sud-Ouest avant de se déployer au reste du pays.
Le début d’été météo se ferait donc dans l’agitation excepté sur le quart Sud-Est (du moins sur les côtes).
Les basses pressions reprendraient le pouvoir pour ce week-end précédent le Hellfest ; une composante Sud-Est suivie d’un flux d’Ouest apporterait pas mal d’averses faisant souffler le chaud et le frais thermiquement parlant.
Côté précipitations, elles pourraient être localement déjà excédentaires.
Le timing serait parfait pour une nouvelle poussée chaude en cette fin de week-end de l’Ascension en marge d’une nouvelle remontée de gouttes froides espagnoles.
Cette poussée chaude prendrait la forme d’un flux de Sud devenant dépressionnaire.
Ainsi, en fin de week-end et la semaine suivante, les orages seraient de nouveau d’actualité sur l’Ouest.
L’épisode orageux serait suivi d’une période de rafraichissement en ce début d’été météorologique et durant le week-end de la Pentecôte.
Le courant d’Ouest prédominerait paradoxalement pour la énième fois en 15 jours ; si une telle configuration arrivait, ce serait à se demander pourquoi il n’était que peu présent l’hiver dernier.