
Prévisions saisonnières pour la France et le reste de l'Europe

1ère quinzaine
Du
1er jusque vers le 15, les indices liés aux océans AO
(Arctique) et NAO (Atlantique Nord) ainsi que les modèles à très
long tendraient vers un blocage anticyclonique sur l'Europe
centrale avec une extension possible vers la Scandinavie et
l'Est de la France.
Par conséquent, le Nord-Est de la France pourrait se retrouver
sous influence continentale avec de fréquentes gelées et des
précipitations qui pourraient être solides.
Sur l'Europe de l'Ouest, le courant serait beaucoup plus
maritime avec un flux apportant de fortes précipitations et un
redoux.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 31, les paramètres liés au soleil
pourraient accuser une nette baisse ; le système dépressionnaire
pourrait se retrouver plus au Sud du pays principalement sur le
Maghreb, le Portugal, l'Espagne, l'Italie.
Une telle situation donnerait des dégradations orageuses
majeures sur le Sud-Est de l'hexagone, des précipitations
solides au Nord conséquence d'une masse d'air nettement
refroidie en altitude.
Ce serait probablement la période la plus favorable aux
offensives hivernales.
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Ouest/Est.
Sur le Sud du pays : Ouest/Sud-Est.
Bilan
Le
coeur de l'hiver météo 2026 se ferait avec un flux contrasté ;
les perturbations concerneraient finalement tout le pays
notamment le pourtour méditerranéen contrastant avec la dernière
mise à jour ; les accumulations d'eau seraient logiquement
excédentaires dans une telle situation (+30%) ce qui plomberait
l'ensoleillement (-10%).
Une telle configuration mettrait une anomale de température
proche de la normale (+0,0°C) avec de fortes
disparités entre l'Ouest (douceur) et l'Est (froid).
FEVRIER 2026

1ère quinzaine
Du
1er jusque vers le 15, les paramètres liés au soleil
seraient tel qu'un système dépressionnaire resterait actif sur
le Royaume Uni et plus globalement sur l'Europe de l'Ouest.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 28, pas de changements normalement
; le courant dépressionnaire devrait persister et signer prenant
la forme de nombreuses perturbations.
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Sud-Ouest.
Sur le Sud du pays : Sud-Ouest.
Bilan
La
fin de l'hiver météorologique 2026 resterait avec un flux
océanique dominant ; les précipitations concerneraient alors
tout le pays donnant une anomalie globale très excédentaire
(+40%).
Côté températures, elles seraient dans le positif (+0,5°C)
via ce flux de Sud-Ouest.
L'hiver 2025-2026 pourrait globalement être des plus océaniques avec une température moyenne douce (+0,5°C), de fortes précipitations (+20%) et un ensoleillement en berne (-10%).
MARS 2026

1ère
quinzaine
Du
1er jusque vers le 15, l'ensemble des paramètres
solaires diminuerait ; il y aurait alors un renforcement des
hautes pressions sur la Scandinavie : nous aurions alors un flux
de Sud globalement dépressionnaire aboutissant à un redoux sur
l'Ouest ; sur l'Est, l'hiver pourrait persister via un flux
continental.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 31, pas de changements à attendre ;
nous serions dans un flux dépressionnaire avec une dissymétrie
entre l'Ouest (douceur) et l'Est (froid) de l'hexagone.
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Sud-Ouest.
Sur le Sud du pays : Sud-Ouest.
Bilan
Le
début du printemps météorologique 2026 aurait des
allures...printaniers.
Il y aurait une composante Sud dépressionnaire qui aurait pour
conséquences de mettre les perturbations sur l'Ouest et le Sud
de la France.
Le Nord-Est du pays serait au sec dans une masse d'air plus
froide.
L'anomalie de température globale se situerait vers les +0,25°C.
AVRIL 2026

1ère
quinzaine
Du 1er jusque vers le 15, Peu de changements à attendre avec toujours ce blocage anticyclonique sur l'Europe centrale et la Scandinavie ; le flux serait orienté de secteur Sud à Sud-Est apportant un air instable sur l'Ouest et le Sud de la France.
En
allant vers le Nord-Est, le flux serait plus continental a
priori.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 30, la tendance resterait à la
persistance des hautes pressions sur les îles britanniques ainsi
que sur l'Europe centrale ; le vent de Sud-Est continuerait à
ramener de l'instabilité avec peut-être les premiers orages
d'été de la saison.
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Sud-Est.
Sur le Sud du pays : Sud.
Bilan
Le
coeur du printemps météo 2026 serait dans un flux de Sud-Est-Sud
potentiellement dépressionnaire ; la douceur pourrait être
d'actualité sur l'Ouest, la température plus contrastée ailleurs
avec une anomalie thermique de +0,5°C ; les
précipitations pourraient être excédentaires au Sud,
déficitaires au Nord surtout vers les frontières de la Suisse,
de l'Allemagne, du Luxembourg et de la Belgique sur fond de
soleil bien présent (+10%).
Tendance pour la fin du printemps (Mai)
et le début de l'été 2026 (Juin et Juillet)

MAI 2026
Du
1er jusque vers le 31, le flux d'électrons diminuerait
tandis que le champ magnétique terrestre serait à la baisse.
Nous irions alors vers un décalage du système dépressionnaire sur la France et sur le Sud de l'Europe ; l'anticyclone serait relégué sur les îles britanniques, la Scandinavie et l'Europe centrale.
En gros
La fin du printemps météorologique 2026 aurait des allures automnales ; l'instabilité serait récurrente ce qui pourrait donner des excédents en eau (+25%) sur fond de températures situées dans les normales (anomalie 0,0°C) ; en revanche, l'ensoleillement serait moribond (-5%).
Le printemps 2026 devrait être des
plus classiques en faisant la moyenne des 3 mois.
JUIN 2026
Du
1er jusque vers le 30, les paramètres liés au soleil
seraient à la baisse favorisant l'émergence de hautes pressions
sur l'Ouest et le Sud de la France.
Le flux serait alors orienté de secteur Sud-Ouest tout en étant globalement anticyclonique sauf vers les côtes de la Manche.
Dans l'ensemble
Le début de l'été météorologique 2026 se ferait en fanfare avec un flux de Sud-Ouest anticyclonique ; ce dernier apporterait des vagues de chaleur pour le moins précoce pour la saison faisant de ce mois dans le positif thermiquement parlant : anomalie +1°C.
Dans cette configuration, les précipitations se feraient plus rares et le plus souvent au sein des gouttes froides.
Quant à l'ensoleillement, il serait très bon par endroit (+10%).
JUILLET 2026
Du
1er jusque vers le 31, les premières tendances iraient
vers un renforcement des hautes pressions du Portugal à la
Scandinavie en passant par la France.
Au final
Le coeur de l'été météo 2026 se poursuivrait sur fond d'anticyclone.
A cette période de l'année, la présence des hautes pressions sur le pays engendre des fortes chaleurs ce qui pourrait donner une nouvelle anomalie positive : +1°C.
Les précipitations seraient encore plus rares et l'ensoleillement encore meilleur.
Vers un été plus chaud que la normale ?