Prévisions saisonnières pour la France et le reste de l'Europe
1ère quinzaine
Du
1er jusque vers le 15, les indices liés aux océans AO
(Arctique) et NAO (Atlantique Nord) ainsi que les modèles de
prévisions à très long terme tendraient vers une dominante
dépressionnaire sur les îles britanniques ; la circulation
océanique d'Ouest serait alors des plus actives.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 31, pas de changements a priori ;
la douceur océanique serait d'actualité sur fond d'une forte
pluviométrie remplissant les nappes phréatiques voire pouvant
les faire déborder.
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Ouest-Sud-Ouest.
Sur le Sud du pays : Ouest-Sud-Ouest.
Bilan
Le coeur de l'hiver météo mettrait en avant toujours une composante océanique plus intense ; les perturbations traverseraient le pays avec de fréquentes précipitations (excédent +15% à +30%) sur fond d'air doux (+0,5°C) et d'un soleil qui aurait décidément du mal à percer (déficit -10%).
FEVRIER 2025
1ère quinzaine
Du
1er jusque vers le 15, les paramètres liés au soleil
seraient toujours très élevés maintenant voire pérénnisant une
domination du système dépressionnaire britannique.
Les perturbations défileraient en quasi continus au moins sur le
Nord de la France apportant également un redoux relatif.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 28, pas de changements en
perspective ; nous aurions toujours un courant océanique d'Ouest
favorisant l'enneigement de moyenne et haute altitude pour les
stations de ski.
En plaine, la douceur serait palpable.
Seul le pourtour méditerranéen resterait au sec grâce au même
vent d'Ouest.
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Ouest.
Sur le Sud du pays : Ouest.
Bilan
La
fin de l'hiver météorologique 2025 basculerait dans une forte
pluviométrique ; ce serait peut-être le mois le plus pluvieux de
la saison hivernale 2024-2025 avec un excédent de 40%.
Dans cette configuration, l'air doux circulerait facilement (anomalie
+0,5°C) et l'ensoleillement à la peine (-20%).
L'hiver météo 2024-2025 pourrait être d'un grand classique au niveau des températures mais avec de fortes disparités entre le mois de Décembre (froid sec ?) et le mois de Février (douceur humide ?).
MARS 2025
1ère
quinzaine
Du
1er jusque vers le 15, le flux d'électrons
diminuerait légèrement ce qui engendrerait une remontée des
hautes pressions sur l'Est et le Sud de la France.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 31, peu de changements avec
toujours une délimitation entre le Nord-Ouest (humide) et le
reste du pays (au sec ?).
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Sud-Ouest.
Sur le Sud du pays : Sud-Ouest.
Bilan
Le
début du printemps météorologique 2025 se ferait encore avec un
certain arrosage notamment sur l'Ouest de la France.
Plus au Sud, la situation ressemblerait à celle d'un printemps
des plus classiques.
Ainsi, les températures resteraient douces globalement (anomalie
+0,5°C) avec un peu moins de pluie (+15%) et un
meilleur ensoleillement.
AVRIL 2025
1ère
quinzaine
Du 1er jusque vers
le 15, le flux d'électrons serait orienté à la baisse
et le champ magnétique terrestre inchangé ; de plus, les
différentes modélisations probabilistes maintiendraient les
hautes pressions au Nord, le système dépressionnaire au Sud.
Par conséquent, l'instabilité dominerait essentiellement le quart Sud-Est de la France.
Le
reste du pays serait sous une composante Nord-Est apportant un
rafraichissement et surtout un temps plus sec.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 30, pas de changements normalement,
nous aurions toujours une dissymétrie entre le Nord (sec) et le
Sud de la France (humide).
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Nord-Est.
Sur le Sud du pays : Est.
Bilan
Le
coeur du printemps météo 2025 serait a priori nettement plus
calme sur le Nord et l'Ouest de la France.
En revanche sur le Sud-Est, l'instabilité dominerait
principalement sous forme de salves orageuses.
Avec ce flux d'Est à Nord dominant, les températures minimales
pourraient être particulièrement fraiches pour la saison.
En journée, le bon ensoleillement global ne parviendrait pas a
priori à compenser la fraicheur matinale.
D'où une anomalie thermique globale de 0,0°C.
Tendance pour la fin du printemps 2025 (Mai) et une
partie de l'été (Juin et Juillet)
MAI 2025
Du
1er jusque vers le 31, les paramètres solaires
seraient aléatoires. Dans ce type de configuration, ce serait la
mise en place d'un marais barométrique.
Les
journées ressembleraient à la suivante : une matinée calme avec
un bon ensoleillement, un après-midi marqué par de l'instabilité
surtout sur les reliefs (évolution diurne).
Dans l'ensemble
La fin du printemps météorologique 2025 se ferait dans l'agitation sur tout le pays.
La
pluviométrie serait excédentaire dans une telle situation.
Le conflit de masses d'air rendrait difficile de déterminer si la fraicheur ou la douceur prédominerait.
C'est pourquoi, nous pourrions encore avoir une anomalie thermique globale de 0,0°C.
Le printemps météo 2025 ne
renfermerait strictement rien de particulier (classique).
JUIN 2025
Du
1er jusque vers le 30, le flux d'électrons remonterait
tandis que le champ magnétique terrestre chuterait de façon
drastique.
Dans
ce cas, la pression atmosphérique moyenne remonterait sur
l'ensemble du pays.
Cependant, le système dépressionnaire ne serait pas loin, les gouttes froides non plus.
Dans l'ensemble
Le
début de l'été météorologique 2025 se déroulerait dans une
chaleur sans excès a priori : anomalie thermique +0,5°C.
Les averses devraient se cantonner la plupart du temps sur les côtes de la Manche.
L'édition du Hellfest pourrait alors démarrer dans la fraicheur, se poursuivre dans une chaleur relative sur fond d'ensoleillement dans le positif (+5 à +10%).
JUILLET 2025
Du
1er jusque vers le 31, les premières tendances iraient
vers l'accentuation du courant dépressionnaire sur les deux
tiers de l'hexagone.
Le Nord et l'Ouest de la France seraient impactés ; en revanche, le quart Sud-Est pourrait rester à l'écart des précipitations.
Au final
Le coeur de l'été météo 2025 aurait des allures automnales avec un flux océanique d'Ouest.
Les congés d'été seraient une nouvelle fois gâchés de part les précipitations récurrentes (excédent +20%) et une anomalie thermique -0,25°C.